24 juin 2007
La vie
ami( e ) s… A ceux dont je ne pourrais me passer…
Grégory et sa Maman
À corps perdu
Je deviens moi
Puisque des filets nous retiennent
Puisque nos raisons nous enchaînent
Que rien ne brille sous nos remparts
Et puisqu'on n'atteint pas le ciel
A moins de s'y brûler les ailes
Et suivre les routes où l'on s'égare
Comme on dresse un étendard
A corps perdu, ivre et sans fard
Pour n'être plus le pantin d'un espoir
Et si la vie n'est qu'une cause perdue
Mon âme est libre d'y avoir enfin cru
A corps perdu
Puisque les destins sont les mêmes
Que tous les chemins nous ramènent
A l'aube d'un nouveau départ
On n'apprend rien de nos erreurs
A moins de s'y brûler le coeur
Je suivrai les routes où l'on s'égare
Comme on dresse un étendard
A corps perdu, ivre et sans fard
Pour n'être plus le pantin d'un espoir
Et si la vie n'est qu'une cause perdue
Mon âme est libre d'y avoir enfin cru
A corps perdu
A corps perdu
A corps perdu j'écrirai mon histoire
Je ne serai plus le pantin du hasard
Si toutes les vies sont des causes perdues
Les hommes meurent de n'avoir jamais cru
De n'avoir pas vécu ivres et sans fard
Soldats vaincus pour une guerre sans victoire
Et si ma vie n'est qu'une cause perdue
Je partirai libre d'y avoir au moins cru
A corps perdu
A corps perdu
23 juin 2007
l'objectif prévention plus facile que la guérison
POUR LES 53 000 FEMMES DE 50 À 74 ANS.
Aujourd'hui des ADECA (Associations de dépistage des cancers) existent dans chaque département. ADECA 81 a été mis en place en mai 2003. Depuis cette date, elle a entrepris deux campagnes s composées chacune de deux vagues de dépistages sur deux ans.
Les cibles, ce sont les femmes de 50 à 74 ans. Il y en aurait environ 54 000 dans le Tarn. Chacune est fichée et invitée selon sa date de naissance (une vague, les années paires, l'autre, les années impaires) à aller faire une mammographie. « Cela ne doit pas inquièter, explique Max Barraud-Krabe, médecin de l'ADECA 81, il faut que le dépistage devienne un contrôle de routine dans les mentalités. »
GRATUIT ET SÛRLa mammographie se fait chez un des 27 radiologues du département, répertoriés selon des critères particuliers par l'ADECA81. Aucun frais n'est pas à avancer, tout est gratuit. Les résultats de ces mammographies sont envoyés à l'ADECA (basée au Bon Sauveur) où des professionnels effectuent une deuxième lecture quel que soit le premier résultat. Pour le docteur Max Barraud Krabe : « Il s'agit d'augmenter les chances de découvrir un cancer le plus vite possible et de diminuer les risques d'un mauvais pronostic. Si des images suspectes apparaissent, on réalise des examens plus poussés. » Le dépistage doit être effectué tous les deux ans.
DE 50 À 74 ANS SEULEMENTLe risque du cancer du sein augmente après la ménopause. Mais la mammographie est loin d'être une habitude. Lors des deux dernières campagnes, moins de 25 000 femmes se sont présentées soit 45 % des Tarnaises concernées. 300 cancers ont été détectés dont un tiers était de petites tailles sans traitement lourd. Le taux à atteindre est désormais de 70 % : « Il ne faut pas oublier qu'un dépistage sert quand tout va bien et qu'il n'y a pas encore de symptômes. »
Pour les plus jeunes qui n'ont pas d'antécédents cancérigènes, un dépistage individuel est conseillé ponctuellement. « Elles ne rentrent pas dans le programme de dépistage car il y a peu de risques mais elles doivent se renseigner auprès de leurs médecins pour faire des bilans » explique Cathy Auran, infirmière à l'ADECA.
Pour les femmes de plus de 74 ans, le risque est bien entendu toujours important mais selon le docteur Barraud Krabe : « Souvent, ces personnes plus âgées préfèrent vivre avec leur cancer et un certain confort médical que subir des traitements douloureux pour gagner quelques mois voire années tout au plus. »
L'objectif reste le même : la prévention est plus facile à entreprendre que la guérison.
Louise Tempier
Numéro Vert : 0 800 10 44 88
22 juin 2007
Kikou c'est moi
20 juin 2007
Les aventures de Casimir
J'ai pris confiance ou est ce de l'inconscience mais c'est laurent qui me retient!
Tu as vu sa geule...
Ca marche pas mal, mais nous sentons bien qu'ils ont peur nos maîtres...
Il est fou mon maître...
Ah c'est pour faire les présentations... Andalouse préfère tourner la tête faire semblant de rien avoir vu...
De nouveau un arbre perché, mais pourquoi qu'il vient me dénicher Laurent?
Aux aboiements et cris sauve qui peut
Deux minutes après plus peur... je suis brave! inconscient serait plus approprié rire
Pas tout à fait fier...
Andalouse n'atend que lui...
Sur le plan,cher des vaches...
Dans mon arbre perché
C'est fatiguant de jouer
Monsieur se met seul dans la poubelle...
19 juin 2007
Juste a ma taille...
Non je suis propre c'est juste pour me reposer...
Sexer des chatons... combien de gens se sont trompés dans cette opération, moi la première !
Pour déterminer le sexe, il vous suffira de soulever la queue du chaton, vous y verrez un orifice anal et un orifice urinaire. Chez la femelle, l'orifice urinaire est très proche de l'anus. Chez le mâle, les futures testicules font une petite boursouflure et le pénis une petite pointe; cette zone est plus distante de l'anus que chez la femelle.
Donc Casimir est bien un mec !!! rire
18 juin 2007
Quelques photos de ce lundi 18/06/2007
Inde Un vélo contre les castes
L'affaire commence durant l'été 2005, à Narsinghpur, petit hameau tranquille du nord est de l'Inde. Issue de la caste des "dalits" (les intouchables), le plus bas échelon du système social hindou, Mamta, 16 ans, vient de passer en première, et souhaite poursuivre ses études. Son père, un paysan sans terre, aurait préféré qu'elle se marie. Mais elle finit par le convaincre de lui acheter un vélo, afin de pouvoir se rendre à son nouveau lycée, situé à 8 kilomètres.
Le jour de la rentrée, elle se met en route. Et déclenche une petite révolution. Pour aller en cours, elle doit en effet traverser le centre du village, habité par les hautes castes. Or la tradition veut que les dalits, qui vivent dans une enclave séparée, mettent pied à terre lorsqu'ils passent à cet endroit. Mamta, elle, refuse.
Furieux les anciens organisent alors un "tribunal populaire". Son père est sommé de lui apprendre les bonnes manières. Pis encore, Mamta pourrait renoncer à ses études. Lui même analphabète, le vieil homme tente de raisonner sa fille. Mais celle ci a la tête dure. " il avait peur, pas moi, affirme t-elle en souriant. Je savais que j'étais dans mon droit." Impressionnées par son courage. Les autres familles dalits décident de la soutenir : après tout, Mamta est la première fille de la communauté à avoir poussé ses études aussi loin. Dans le village, la tension monte. Au point que le commissaire du district mobilise deux policiers pour escorter chaque jour l'adolescente jusqu'au lycée. "Ils sont restés avec nous pendant un mois, raconte sa grand mère, Bharanti Nayak. S'ils n'avaient pas été là, nous aurions tous été tués. " Les familles dalits n'échappent cependant pas au boycott. Plus personne ne leur adresse la parole, les magasins refusent de les servir et les hommes, employés comme ouvriers agricoles par les propriétaires terriens de hautes castes, sont tous licenciés. " Nous avons beaucoup souffert, témoigne encore la grand mère. Mais nous ne regrettons rien, car maintenant nous sommes libres."
Deux ans plus tard, l'affront de Mamta a en effet provoqué bien des changements à Narsinghpur. Le vélo, tout d'abord, que la plupart des dalits enfourchent désormais sans se poser de questions.
Oubliée, aussi, l'interdiction d'utiliser des véhicules motorisés. Terminées, les insultes gratuites et quotidiennes. " Nous faisons ce que nous voulons. Plus personne ne dit rien, dit Bharati Nayak, occupée à traire sa vache. Les hautes castes ont compris qu'elles étaient obligées de respecter la loi." Du moins en partie. Car si le boycott a fini par être levé, les hommes n'ont toujours pas été réembauchés et doivent donc aller travailler dans les hameaux voisins. La communauté n'est par ailleurs plus invitée pour les fêtes de village ou les mariages. " Mais ça commence à changer : certains se remettent à nous parler", assure Mamta. " De toute façon, peu importe, intervient sa tante. Nous n'avons pas besoin d'eux."
Aujourd'hui âgée de 18 ans, la jeune fille vient de passer son bac et souhaite devenir institutrice. Elle donne déjà des cours aux enfants de sa communauté, notamment à sa petite cousine, admise à son tour en première. Et qui écrira peut être la suite de cette histoire exemplaire dans les campagnes indiennes, où ceux que Gandhi appelait les "enfants de Dieu " continuent de faire l'objet d'une discrimination d'un autre âge...
Pierre Prakash l'EXPRESS 14/06/2007
17 juin 2007
J'ai beaucoup aimé cette série de photos...
Quand ça n’entre pas, il suffit de passer par la fenêtre.
Il suffit de trois fois rien pour monter sa petite entreprise
Tourner la pédale permet d’actionner la machine à faire les barbes à papa.
Du balai
Shenzhen. Du balai ! Il faut faire attention à ne pas chatouiller les passants !
Shenzhen est aussi la ville ou se retrouve la plus forte concentration de « bao er nai », concubines ou « deuxièmes femmes » chinoises. ...