29 mars 2013

Au delà des frontières




Une gerbe de bisous
Chaque jour
je tresse
un bouquet d’affection
Tissons mon bébé
une toile,
au-delà des frontières,
des vents, des marées,
et des mondes
Carguons-nous
figeons cet instant
dans la nuit des temps

27 mars 2013

Penser toujours à lui






Ce n'est pas parce que l'on est jeune que l'on ne peut pas laisser le témoignage de notre passage sur cette terre...

23 mars 2013

Anciens textes plus de 7 ans et oui



Une brassée de bisous

C'est un nouveau petit garçon que mon entourage découvre (je ne rigole plus), et je commence à accepter de ne plus me concentrer sur une activité (même plus la TV du moins chez ma mémé) mais j’ai encore son PC qui m’intéresse car c’est répétitif et me demande moins d’attention je connais déjà donc je m’amuse à anticiper et lui faire comprendre ce qui va arriver, je la bluff quoi et elle est très réceptive cette mémé trop fastoche, je crois même qu'elle aime tant me faire rire, qu'elle est prête à n'importe quoi pour me faire oublier, que je n'ai plus beaucoup de centres d'intérêts. Et surtout plus la possibilité de me mouvoir  … .
Mon emprisonnement se fait de plus en plus ressentir... fort est de constater que mon état régresse encore je ne suis plus qu’une petite marionnette de chiffon depuis quelques temps, le changement à été si grand depuis fin mai !.

Ma mémé a commencé de me conter "Le Petit Prince"  de M. Antoine de saint Exupéry
« Les ailes frémissaient sous le souffle du soir, le moteur de son chant berçait l’âme endormie, le soleil me frôlait de sa couleur pâlie »
Frémissait c’est moi qui le fait lorsque j’entend vrombir le moteur d’un de mes copains volants peut être que cela me berce et m’habitue au COSMOS.

le petit prince
Si vous n’ avez jamais passé la nuit à la belle étoile, vous savez qu’à l’heure où nous dormons, un monde mystérieux s’éveille dans la solitude et le silence…
Le jour, c’est la vie des êtres, mais la nuit, c’est la vie des choses. [A.Daudet, les étoiles] ….


Dans la vie, le monde se divise en deux catégories... Ceux qui ont le pistolet chargé, et ceux qui partagent ... vous les jsciens vous donnez tant !...

Nous dirons que la vie est belle
Même si parfois on la trouve cruelle.
Y'a toujours un espoir un petit coin de ciel bleu
Qu’il faut voir si on veut être heureux.
Je suis alors revenu à la vie
J'ai poursuivi grâce à mes parents, mes amis
et mes complices volants.
Que je trouve magnifiques et bien marrants
Tout, autour de moi me semblait plus beau
J'ai dit d'accord je repars à zéro
J'ai donc fait une croix sur mon passé;
A mon avenir perdu j'ai pardonné
Je veux pour aujourd'hui et demain plein d'amour et bisous de vous toujours.
Ce ne sera que pour 6 ans (et bien non presque 10ans)  malheureusement la vie n'aura tout de même pas fait de cadeau a ce petit homme courageux.

Depuis déjà combien de temps tu fais parler de toi ?
Depuis des décennies on a tous peur de toi !
Combien de veuves, de veufs, de parents inconsolables
Frères et sœurs sèmeras tu encore sur ton chemin ?
Combien de larmes de cris de souffrances
te faudrait-il pour rassasier ta faim ?
Ton unique but, faire de nous tes pantins.
ton seul défi modifier nos destins
Messieurs les dirigeants et messieurs nos chercheurs
quand allez vous enfin atténuer nos douleurs
Qu’une bonne fois pour tout ce monstre soit terrassé.
et qu’enfin l’on puisse vivre en toute sérénité
qu’enfin de notre vie disparaissent certains maux 
oh que chimio et protocole sont de si vilains mots

Emerveillé de telle beauté
Rêve où réalité !
Tu te mets à l'effleurer
Découvre douceur, couleur, chaleur
Ton Cœur se gonfle
De sensation étrange pour toi
Et Oh ! miracle !
Une nouvelle source jaillit celle-ci ensoleillée

Apaise ta douleur
Enchante ton éveil
Et Oh ! miracle
Un sourire se dessine
Sur ton visage
Tout s'illumine tu te mets
A rêvasser à lui parler
Et Oh ! miracle
Une douce mélodie
Vient te répondre venant de plus haut !
Tu lèves tes yeux et Oh! merveille!

C’est ton copain ce « gros oiseaux d’acier Volant»…!


…Pauvre marionnette…!
J’aurais voulu donner ce que je ne peux traduire par les mots, ce que seul le coeur sent, héritage des générations passées, impossible d'oublier ces années, décennies ancrées en moi... Ce sont elles, défuntes d'avant moi, que je dois canaliser pour ne pas exploser, cette force des entrailles, de famille en famille… Nourrir, jeter, cracher. Toute l'histoire de la vie. C’est pour cela que je dois écrire : il faut que les êtres du futur comprennent pourquoi nous souffrons, que nous avons lutté pour être ce que nous sommes, statues sociales issues de sphères humaines, de marbre ou de béton, statues urbaines, de plâtre ou de goudron, lourdes et sourdes, nous érodant peu à peu dans notre espace restreint. Seule une coulée de lave pourrait nous momifier, nous délivrer un instant d'éternité.
Etrange statue humaine agonisant dans ton lit… Tu n’étais pas de ces statues d'ébène pétries dans la haine, toi, je t’avais baigné longuement d’affection, à t’en noyer le cœur.

Il existe des endroits où l’on meurt, de peur, de froid, de tristesse, et, même si l’on ne meurt pas, la vie n’est pas la même, elle est sans saveur, sans amour, sans joie. Alors il faut attendre que le temps se passe pour que la souffrance se lasse.

Ah, la belle vie, à contempler les moutons derrière les paupières ! Que le sommeil vienne ! Qu’il anéantisse ton être que je ne cesse de regarder par la serrure de mes souvenirs et j’aimerais n’avoir jamais vu le soleil pour ne pas connaître cette nuit sans fin...

Tu vas être le premier à sombrer parce que tu avais déjà commencé à détruire toute relation. Les fleurs que tu respectais tant de tout petit que tu étais, ne te parlaient plus, elles avaient peur de ton silence. Seul les fous volants continuaient de t’interpeller…

Si on ne peut apprendre au crabe à marcher droit ... mal dirigé il a perdu le nord cette espèce de projectile téléguidé
de venir tourmenter les meilleurs zut et le meilleur pour nous se nomme Roman le conquérant …


Je me suis dis
Jamais plus tu ne pleureras.
Je serai toujours là...
Je veux t'offrir cette joie de ton copain volant...
Qu'importe où tu seras... qu'importe où tu iras,
mon cœur suivra tes pas...


Mon petit soldat.
Je t'aime tant je serai toujours là près de toi...
Qu'importe si perdu vers d'autres horizons,
je veux t'apporter le bonheur

Mon petit soldat je serai toujours là
Je t'aimerai toujours...
Je te garderai mon cœur  je te garderai mes bras...
Jour après jour je désire ta présence...

Jour après jour je t'attends de nouveau pour toujours...
Nous irons ensemble à la découverte des insectes qui nous sont si  familiers
                                                                  Dans ce terrain qui nous est si particulier.

Toi, notre ange tombé du ciel,

nous voulions que tu sois immortel.
Petit homme sans défense,
au coeur pur même en souffrance...
Tu n'as jamais baissé les bras,
la vie était devant toi.

Toi, petit garçon innocent,
on a volé ta vie d'enfant.
La maladie était ton combat,
nous sommes si fiers de toi.

Tu es un exemple de courage, de force et de combativité
nous restons persuadés que tu seras à nos cotés et dans nos coeurs.
De cette épreuve tu restes pour nous un vainqueur,
tu as rempli notre vie d'amour et de bonheur de joie.
Nous avions seulement oublié que tu nous avez été "prété",
que tu ne nous appartenait pas... 
Tu as certainement une bien belle tâche qui t'attend.


Manque
Le ciel est vide
Et vide est mon univers
Vide est ma tête
Et vide est mon coeur
Et mes yeux sont éteints
Un seul compagnon me manque surtout s’il est a ton image
Et mon coeur est glacé...
Ma vie se vide
Les oiseaux ont leurs ailes pour voler et moi j’ai mon cœur pour l’aimer.
L’amour peut avoir des silences se réduire parfois à une simple présence
c’est le moment le plus beau celui où l’on à rien à se prouver.
Si j’étais l‘accusé et toi un juge, je te demanderai de me condamner à t’aimer pour l’éternité…
Dans mon sourire tu y es, dans mon cœur tu y es
et si j’ai de la chance peut être que dans mes bras je te retrouverais…
L’amour naît d’un regard, vit d’un baiser et meurt d’une larme…

C’est seulement quand les corbeaux seront Blanc et la neige Noire que ton nom s’effacera de ma mémoire.

Fatigué,
Fatigué du mensonge et de la vérité
Où la plus évoluée parmi les créatures
A inventé la maladie, la haine, le racisme et la guerre
Fatigué, lessivé

Fatigué de parler, fatigué de me taire
Quand on blesse un enfant,
Quand la moitié du monde en assassine un tiers

Fatigué, crevé
Il n'y a plus assez de place dans mon coeur
Pour loger la révolte, la lassitude, la colère

Fatigué, bouleversé
Fatigué d'espérer et fatigué de croire

Fatigué de ce putain de crabe qui cause tant de malheur
Fatigué de le voir lutter avec ce pauvre corps de pantin
Car il n’a de cesse de ravager notre univers

Fatigué, révolté
Fatigué de sourire, fatigué de pleurer
Fatigué de chercher quelques traces d'espérance

Dans l'océan de boue où sombre la pensée

PARLE MOI.... (Une amie du forum m’a envoyé ce poème.)Merci Valérie

L'iris de tes yeux...
Reste silencieux malgré mon appel...
Te suppliant de sortir ces aveux...
Qui prisonniers, te coupent les ailes...
A moi, parle moi...
Ton âme, confie moi
Crache le venin de tes souffrances
Ce venin qui gruge, ton errance........

Parle moi, Amour, parle moi...

Raconte toi à moi, ouvre ton cœur...
La bulle de verre dans laquelle tu es a une bien faible paroi...
Parle moi, brise ce verre, parle moi de tes peurs......
Ne vois tu pas qu'à côté de toi?
Amour et paix, je veux te donner....

Dis moi ta souffrance, je t'en prie, parle moi...
Pour qu'ensemble, nous puissions foncer
Les matins gris, je connais... parle moi..
Tes désespérances, donne les moi!
Pour que pour toi, je sois celle qui t'apportera
Un peu de répit, par mon amour qui va bien au delà.........
Tu es l'ombre de moi même
Nous ne faisons qu'un, tu te rappelles?
Il n'y a, et n'aura que toi que j'aime
Je serai là, jusqu'a ton dernier sommeil...
Parle moi, raconte toi, dis moi...
Tous ces mots, pris au fond de toi...
Mots que tu retiens pour me protéger..
Ne me laisse pas seule, avec toi je veux Tout partager...
Quand tu oseras enfin me parler...
C'est peut être moi qui me tairai...
Pour que ma douleur, je puisse te cacher...
Pour ne plus jamais t'empêcher de me parler...
Rappelle toi, tu peux me parler....
Te raconter, par mots échappés...
Que je cueillerai, comme un cadeau....
Confidences de toi que je garderai bien au chaud...

Du haut de tes deux ans
Tu nous fais comprendre
Que l’amour est important
Qu il ne faut pas attendre
Attendre de vivre pleinement
La vie part sans attendre
Savoir aimer simplement
Tant de bons moments  a prendre
Ne rien laisser passer
Tout est magnifique
Sachons tout apprécier
Plus rien ne sera tragique
Petit bonhomme
Tu regardes ta vie
Et tu sais faire en somme
Quelle te sourit
Tu sais trop tôt
Que rien n’est simple
Tu ne vas pas partir si tôt
Ta force est humble
Tant de gens t’aiment
Aucun droit n’est acquis
Pour que tu nous laisses dans la peine
Le jour vient o tu jouiras de ta vie.
Force de combat
Tu seras gagnant
Ne baisse pas les bras
La belle vie t’attend

Merci Corinne

Trop dure de vivre sans toi



Depuis que tu as lâché notre main en ce jour du 19 Février...

Nous vivons au jour le jour, sans penser trop au lendemain. Nous avons, tu nous as appris qu'il peut ne pas avoir de demain... Alors à quoi bon se préoccuper à l'avance. Chaque tâche requiert suffisamment notre attention et trop souvent nous empêche de penser aux autres. S'il y a un petit peu de poussière, tant mieux elle emprisonnera la trace de l'autre... lol
Je pense beaucoup a tes deux anges gardien, qui elles ont vécue toujours auprès de toi toutes ces dernières années, comme se doit être difficile de sortir ton absence de leur tête et de leur cœur. Le petit Raphaël a un rôle hyper important auprès d'elles...


20 mars 2013

Pour ne pas oublier la captivité de ces mères...


Leur plan était implacable. ­Durant les huit années de dictature argentine, de 1976 à 1983, les militaires ont arraché 500 nourrissons à leur famille. Ces enfants sont nés en captivité de mères jugées subversives, enchaînées jusque dans l'enfantement dans des centres de détention comme l'École mécanique de la marine à Buenos Aires.


Considérés comme des butins de guerre, ces bébés ont ensuite été donnés en adoption à des proches de la junte, sous une fausse identité. Les mères ont été assassinées ou portées disparues.

Depuis, des grands-mères se battent pour les retrouver. Elles s'appellent ­Sonia, Rosa, Chicha, Estela, Chela. Elles viennent de tous les horizons socioprofessionnels. Rien ne les prédisposait à se rencontrer, ni à sortir de l'anonymat. Mais le monde entier les connaît parce que, depuis trente-cinq ans, elles livrent un combat acharné contre l'appareil d'État pour trouver le moyen - et ce sera la génétique - d'identifier les enfants retrouvés.

Leur croisade et leur bravoure sont racontées dans un documentaire exceptionnel écrit et réalisé par Alexandre Valenti, et diffusé ce mardi soir sur France 5, dans le cadre de l'émission Le monde en face.

Plus d'une heure et demie douloureuse mais indispensable, gorgée d'espérance. L'auteur du film est argentin, a quitté son pays un mois après le coup d'État, et vit aujourd'hui en France. « Parmi les 30 000 disparus durant la dictature, j'avais des amis d'enfance. Cette histoire m'a accompagné toute ma vie », déclare-t-il. Le propos, magistralement mis en scène, avec des reconstitutions sur fond de bruit de bottes ou de battements de coeur, donne la voix aux aïeules, mais aussi aux enfants retrouvés : il y en a 107 à ce jour.

16 mars 2013

Le beau Bowie appartenant à Joëlle




Il adore la neige mais aussi son joujou!

15 mars 2013

quelques clichés des grosses bêtes


Nous ne savions pas encore l'attachement que tu avais pour ces grosses bêtes!
On aperçoit juste le bout du nez de Monsieur Lion...
Je comprends pourquoi sa vie te fascinait car il a toujours plusieurs femelles...
Je me souviens lorsque bébé tu étais attiré par le joli minois d'une petite fille.
Un vrai dragueur notre bébé!

08 mars 2013

journée de la femme le 8 Mars non toute l'année...




Cela m'inspire de la méfiance.
Depuis l'année où j'ai cassé notre véhicule. C'est le seul accident que j'ai eu mais il est mémorable ce fut la casse pour lui et une seule année d'existance!
Lorsqu'il s'agit de matériel ce n'est pas grave... mais lorsque cela arrive sur le coup c'est un sentiment de "honte" zut! et oui m. lol

04 mars 2013

3 mars journée qui restera gravée dans nos mémoires


Profitant de la somptueuse journée autour des 15° pour un 03/03
ce n'est pas mal pour faire une halte dans un resto du bord de mer de Bormes les Mimosas...
Le mimosa pousse comme des orties, tout est habillé de  jaune et une forte odeur enivrante pénètre dans la voiture par le système d'aération on se croyait en Vacances... Au point que le papy est allez taper la causette avec un pêcheur sur
la jetée... Nous avions un horaire limite, mais pour une fois c'est lui qui a présumé de son temps!
Après il fallait foncer oui mais où, car lorsqu'on suit bêtement un convoi on ne fait pas très attention a l'itinéraire emprunté.
Et "TomTom" ne connait pas tout...